En 1915, les premières victimes du génocide furent les intellectuels arméniens, dont plusieurs poètes. Parmi eux, Daniel Varoujan ; il avait trente et un ans mais sa gloire n’est pas posthume : d’emblée il s’affirmait comme le meilleur représentant de la jeune poésie de l’Arménie combattante. Le Chant du Pain est sa dernière œuvre, inachevée. Alors qu’il y travaille, Varoujan ne se doute pas que son nom figure sur une liste noire. Dans la nuit du 24 avril 1915, on vient le chercher…
- Editeur : Editions Parenthèses
- Collection : Arménies
- Auteur : Daniel Varoujan
- Poèmes traduits de l’arménien par Vahé Godel.
- Date de parution : mars 1990
- Format : 15,5 x 24 cm
- Nombre de pages : 96